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Union Luxembourgeoise des Consommateurs

 Newsletter Décembre 2011

 

 

 

fr Madame, Monsieur,

Nous vous prions de trouver ci-joint notre communiqué de presse du 07/11/2012 .

Vous en souhaitant bonne réception, veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations très distinguées.

 

 

de Sehr geehrte Dame, sehr geehrter Herr,

Anbei schicken wir Ihnen unsere Pressemitteilung vom 06/11/2012.
Mit freundlichen Grüssen.

 


L’ULC critique l’augmentation non équilibrée des impôts au détriment des consommateurs

En matière d’amendements apportés au projet de budget 2013, l’ULC note avec satisfaction que le déficit de 1,5 milliard d’euros prévu pour l’administration centrale sera réduit à 1,041 milliard d’euros. Elle salue également la baisse prévue du déficit de l’ensemble des administrations publiques de 1,5 % à 0,8 %. Ces mesures vont dans la bonne direction. Mais il reste à savoir quels secteurs seront concernés par la réduction  des dépenses.

Quant à l’augmentation des impôts, l’ULC critique que ce seront une fois de plus les ménages qui seront touchés en première ligne. En dehors du relèvement du taux d’imposition maximal de 39% à 40%, l’impôt de solidarité payable par les ménages privés passera de 4% à 7% voire à 9 %. L’ULC a exigé à plusieurs reprises qu’on présente la facture d’abord aux responsables de la crise financière qui est à l’origine de tous les problèmes. Mais une telle approche n’est point perceptible. On annonce tout juste une augmentation de l’imposition de sociétés financières, les soi-disant Soparfi, qui passera de 1.500 € à 3.000 €.

Les petites entreprises devront payer 500 €, alors que le montant prévu pour les grandes entreprises pourra se chiffrer à 20.000 €. De l’avis de l’ULC, ces seuils sont insuffisants. Mais c’est effectivement plus simple de se servir auprès des consommateurs, auxquels la déductibilité fiscale des frais de route n’est plus accordée qu’à partir du 5e kilomètre. Une mesure ridicule face à l’imposition très modeste des entreprises.

En matière d’augmentation des recettes fiscales, l’ULC constate que la répartition sur les sociétés d’un côté et les ménages privés de l’autre n’est ni équilibrée, ni juste. Une fois de plus, ce sont les salariés et les retraités qui seront mis à contribution, alors que le pouvoir d’achat des consommateurs fond comme neige au soleil face à un taux d’inflation de presque 3 %. L’ULC met donc à nouveau en garde contre une baisse supplémentaire du pouvoir d’achat et l’effondrement de la consommation intérieure.

Communiqué par l’ULC, le 7.11.2012
 


ULC kritisiert einseitige Erhöhung der Steuereinnahmen zu Lasten der Verbraucher

Betreffend die Nachbesserungen zum Haushaltsentwurf für 2013 stellt die ULC mit Genugtuung fest, dass beim Zentralstaat das vorgesehene Defizit von ursprünglich 1,5 Milliarden Euro auf nunmehr 1,041 Milliarden Euro reduziert werden soll. Ebenso begrüßt die ULC die geplante Defizitreduzierung von 1,5 % auf 0,8 % beim Gesamtstaat. Die Maßnahmen gehen in die richtige Richtung. Es bleibt allerdings abzuwarten, welche Bereiche durch die Ausgabenkürzungen betroffen sein werden.

Was die Erhöhung der Steuern anbelangt, so kritisiert die ULC, dass es erneut vor allem die Haushalte trifft. Neben der Erhöhung des Spitzensteuersatzes von 39% auf 40% wird die Solidaritätssteuer für Privathaushalte von 4% auf 7% beziehungsweise 9 % erhöht. Die ULC hat mehrmals gefordert, dass vornehmlich diejenigen zur Kasse gebeten werden sollen die uns die Finanzkrise, welche am Anfang aller Probleme stand, eingebrockt haben. Eine solche Vorgehensweise ist jedoch nicht zu erkennen. Angekündigt ist lediglich eine Anhebung der Besteuerung von Finanzgesellschaften, den sogenannten Soparfi, von derzeit 1.500 € auf 3.000 €.

Kleine Betriebe werden in Zukunft mit 500 € belastet, während große Unternehmen eine Steuer bis zu 20.000 € entrichten müssen. Diese Schwellenwerte sind nach Meinung der ULC unzureichend. Es ist eben einfacher sich bei den Verbrauchern zu bedienen, denen man jetzt erst ab dem fünften Kilometer Arbeitsweg eine steuerliche Abschreibmöglichkeit einräumt. Eine lächerliche Maßnahme, angesichts der sehr bescheidenen Steuerabgaben die man den Betrieben abverlangt.

Was die Erhöhung der Steuereinnahmen anbelangt, stellt die ULC fest, dass die Verteilung dieser auf die Gesellschaften einerseits, die Privathaushalte andererseits, unausgewogen und ungerecht ist. Man bedient sich wiederum bei den Lohn- und Pensionsempfängern, derweil die Kaufkraft der Verbraucher bei Inflationsraten von nahe 3 % dahin schmilzt. Die ULC warnt daher erneut vor einem weiteren Kaufkraftverlust und damit vor einem Zusammenbruch des Inlandsverbrauchs.

Mitgeteilt von der ULC am 6.11.2012
 

 

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