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Union Luxembourgeoise des Consommateurs

 

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fr Madame, Monsieur,

Nous vous prions de trouver ci-joint notre communiqué de presse du 16/12/2014 .

Vous en souhaitant bonne réception, veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations très distinguées.

 

 

de Sehr geehrte Dame, sehr geehrter Herr,

Anbei schicken wir Ihnen unsere Pressemitteilung vom 16/12/2014.

Mit freundlichen Grüssen.

 


L’ULC accueille favorablement le règlement relatif à l’information sur les denrées alimentaires, mais requiert certains aménagements


Le règlement relatif à l’information sur les denrées alimentaires adopté par l’Union européenne en octobre 2011 est entré en vigueur ce samedi. Il octroie aux producteurs une longue période de transition censée leur faciliter le changement. Le règlement se substitue à toutes les lois nationales dans le domaine.

Néanmoins, le projet de « feux tricolores » pour produits alimentaires, soutenu par la plupart des associations de consommateurs européennes, n’a pas été concrétisé. L’idée était d’indiquer le degré de risques pour la santé des aliments en affichant la couleur rouge, orange ou verte à l’avant de l’emballage. Les producteurs, mais aussi de nombreux gouvernements, étaient opposés à cette solution. Leur argument : le système de feux tricolores ne repose sur aucun fondement scientifique, étant donné que les valeurs seuils sont déterminées de manière arbitraire.

Un tableau détaillé des valeurs nutritives des produits sera néanmoins obligatoire dans deux ans. La teneur en calories, en hydrates de carbone ou en sucre devra figurer sur l’emballage. La liste d’ingrédients déjà obligatoire doit reprendre les substances potentiellement allergènes : farine de froment, farine de soja, lactose, fruits secs,... Le nouvel étiquetage permet aux consommateurs de réaliser une comparaison, ce que l’ULC les encourage à faire, non seulement pour comparer les prix, mais aussi dans l’intérêt de leur santé.

Les consommateurs constateront par ailleurs que les denrées alimentaires contiennent des composants dont ils n’auraient jamais soupçonné l’existence, comme du jus de carotte dans les yaourts.

L’ULC critique également la taille de caractères minimale convenue. Les informations doivent être présentées dans une police de caractères d’au moins 1,2 mm, basée sur la taille des minuscules, en tenant compte du contraste et de la police. Elles resteront donc difficiles à déchiffrer pour de nombreux consommateurs.

Les marchandises offertes en vrac ne sont toutefois pas concernées par ce règlement. L’ULC demande des aménagements à cet égard.

Enfin, les autorités sanitaires doivent disposer du personnel nécessaire pour pouvoir contrôler efficacement le bon respect des consignes d’étiquetage et, le cas échéant, infliger des sanctions.

Communiqué par l’ULC le 16 décembre 2014

 



Die ULC begrüsst die Lebensmittelinformationsverordnung, fordert aber Nachbesserungen


Seit letztem Samstag ist die Lebensmittelinformations-Verordnung, welche die EU bereits im Oktober 2011 beschlossen hat, in Kraft. Den Herstellern wurde eine lange Übergangsfrist gewährt, die ihnen die Umstellung erleichtern sollte. Die Verordnung löst alle nationalen Gesetze in diesem Bereich ab.

Allerdings: aus der sogenannten „Lebensmittel-Ampel“, für die sich auch die meisten Verbraucherverbände in Europa eingesetzt hatten, wurde nichts. In den Farben Rot, Gelb und Grün wäre auf der Vorderseite einer Verpackung ersichtlich gewesen, ob das Produkt ernährungstechnisch bedenklich oder unbedenklich ist. Die Hersteller waren gegen diese Lösung, jedoch auch viele Regierungen. Argument: die Ampel ist wissenschaftlich nicht fundiert da die Schwellenwerte willkürlich bestimmt sind.

In zwei Jahren jedoch wird eine ausführliche Nährwerttabelle Pflicht. Kalorien, Kohlenhydrate, der Zucker extra, müssen ausgewiesen werden. In der Zutatenliste welche jetzt bereits obligatorisch ist, müssen potentielle Allergene aufgeführt werden: Weizenmehl, Sojamehl, Laktose, Nüsse…. Die neue Kennzeichnung setzt den Verbraucher in die Lage, zu vergleichen. Die ULC ihrerseits fordert die Konsumenten auf, dies auch zu tun, nicht nur um Preise zu vergleichen, sondern im Interesse ihrer Gesundheit.

Die Verbraucher werden im Übrigen feststellen, dass Lebensmittel verschiedene Produkte enthalten, von denen sie bislang nichts wussten, zum Beispiel Karottensaft im Jogurt.

Auch moniert die ULC die festgelegte Mindestschriftgrösse. Die Angaben müssen in einer Schrittgröße von mindestens 1,2 mm, bezogen auf die Größe der Kleinbuchstaben, unter Berücksichtigung von Kontrast und Schrift gemacht werden. Für so manchen Verbraucher wird es immer noch schwierig sein, das Aufgedruckte zu entziffern.

Lose angebotene Waren sind jedoch nicht von der Verordnung betroffen. Hier fordert die ULC weitere Nachbesserungen.

Letztlich: die Gesundheitsbehörden müssen über das nötige Personal verfügen, um die Einhaltung der Auszeichnungsvorschriften effektiv kontrollieren zu können und gegebenenfalls Sanktionen auszusprechen.



Mitgeteilt von der ULC am 15. Dezember 2014

 

 

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