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Union Luxembourgeoise des Consommateurs

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fr Madame, Monsieur,

Nous vous prions de trouver ci-joint notre communiqué de presse du 06/06/2016.
Vous en souhaitant bonne réception, veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations très distinguées.

 

 

de Sehr geehrte Dame, sehr geehrter Herr,

Anbei schicken wir Ihnen unsere Pressemitteilung vom 06/06/2016, welcher nur in deutscher Sprache zur verfügung steht.4
Mit freundlichen Grüssen.

 

 

L’ULC se prononce contre un impôt spécial sur les assurances automobiles pour le financement de la réforme des services de sauvetage

Cette semaine la Chambre des Députés vote une partie de la réforme des services de sauvetage. Il s’agit du volet concernant le financement. Selon le projet de loi, celui-ci se fera moyennant introduction d’un impôt de 3 % sur les assurances pour automobiles.

Une majorité des membres de la Commission parlementaire des finances et du budget a voté un rapport qui se prononce en faveur dudit texte.

Selon les membres des partis politiques gouvernementaux, cette mesure est devenue nécessaire au vu du coût important des services de sauvetage, surtout à la suite d’une augmentation des accidents de la route. Il est précisé toutefois qu’il n’est pas voulu que les compagnies d’assurances répercutent cet impôt de 3 % sur les preneurs d’assurances, donc les automobilistes.

Or, selon l’ULC, c’est exactement ce qui risque d’arriver, d’autant plus que les assureurs se sont déjà prononcés en ce sens. Pour cette raison, l’ULC s’oppose contre l’introduction d’un tel impôt spécial. L’association des consommateurs constate qu’après les hausses des taux de TVA et de diverses taxes pendant les années passées, les consommateurs finaux, en l’occurrence les automobilistes, sont à nouveau mis à contribution. Une nouvelle fois, le financement d’un projet de réforme sera financé par une augmentation des prix à la consommation. Il en résultera une nouvelle baisse du pouvoir d’achat des consommateurs.

L’ULC est d’avis que le financement de la réforme des services de sauvetage ne devrait pas se faire moyennant introduction d’une taxe spéciale, mais dans le cadre du budget de l’Etat.

Finalement, l’ULC demande une nouvelle fois aux compagnies d’assurances de ne pas répercuter cet impôt spécial intégralement sur les primes des assurances pour automobiles.

Communiqué par l’ULC le 6.7.2016


ULC gegen die Spezialsteuer auf KFZ-Versicherungen zur Finanzierung der Reform der Rettungsdienste

Diese Woche verabschiedet die Abgeordnetenkammer einen Teil der Gesetzgebung zur Reform der Rettungsdienste. Es handelt sich um die Finanzierung besagter Dienste. Dies soll über die Einführung einer dreiprozentigen Steuer auf den Autohaftpflichtversicherungen geschehen.

Kürzlich stimmte die Mehrheit  der Mitglieder der parlamentarischen Finanz- und Haushaltskommission (Commission parlementaire des finances et du budget) besagtem Text zu.

Laut den Mitgliedern der Regierungsparteien wurde diese Maßnahme notwendig, da die Rettungsdienste angesichts vieler Autounfälle sehr teuer geworden sind. Nicht vorgesehen sei jedoch, dass die Versicherungsgesellschaften diese dreiprozentige Steuer auf die Versicherungsprämien der Autofahrer  umlegen.

Genau dies jedoch wird nach Meinung der ULC der Fall sein, nicht zuletzt da die Versicherer sich bereits in diese Richtung geäußert haben. Deshalb lehnt die ULC nach wie vor die Einführung einer Spezialsteuer entschieden ab. Der Konsumentenschutz stellt fest, dass, nach den in den vergangenen Jahren beschlossenen Mehrwertsteuer- und Taxenerhöhungen, die Endverbraucher, in diesem Falle die Autofahrer, wieder zur Kasse gebeten werden. Erneut wird zur Finanzierung eines Reformprojektes letztlich der Verbraucherpreis nach oben  geschraubt. Also eine weitere Schwächung der Kaufkraft der Verbraucher.

Darum ist die ULC der Meinung, dass die Finanzierung der Reform der Rettungsdienste nicht über eine spezifische Steuer geschehen soll, sondern im Rahmen des Staatshaushaltes.

Ebenfalls fordert die ULC die Versicherungsgesellschaften auf, diese Spezialsteuer für ihre Kunden kostenneutral zu gestalten oder zumindest nicht integral auf die Tarife der Autohaftpflichtversicherungen umzulegen.

Mitgeteilt von der ULC am 6.7.2016

 
L’ULC se prononce contre un impôt spécial sur les assurances automobiles pour le financement de la réforme des services de sauvetage (140 KB)
ULC gegen die Spezialsteuer auf KFZ-Versicherungen zur Finanzierung der Reform der Rettungsdienste (104 KB)