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Union Luxembourgeoise des Consommateurs

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Madame, Monsieur,

Nous vous prions de trouver ci-joint notre communiqué de presse.
Vous en souhaitant bonne réception, veuillez agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations très distinguées.

 

 

Sehr geehrte Dame, sehr geehrter Herr,

Anbei schicken wir Ihnen unsere Pressemitteilung.
Mit freundlichen Grüssen.

 

 

Pas d’allègement fiscal pour les consommateurs

Le budget présenté aujourd’hui à la Chambre des Députés ne prévoit qu’un allègement limité de la taxe sur la valeur ajoutée. Au final, ce sont encore et toujours les consommateurs qui devront mettre la main à la poche – et en particulier les automobilistes, soumis à une nouvelle augmentation des accises sur l’essence et le diesel. Ces derniers sont aujourd’hui devenus la véritable vache à lait de la nation.

L’ULC s’inquiète de l’évolution actuelle des prix, qui ont augmenté de manière sensible dans les différents secteurs au cours des deux premiers mois de 2019.

Plusieurs exemples récents viennent confirmer cette tendance, comme les prix de l’électricité et du gaz, les frais bancaires, les timbres, l’augmentation de 40 % en moyenne des tarifs de la SNCT, les prix des courses de taxis et, maintenant, les accises. Il est probable sinon certain que ces augmentations de prix ne s’arrêteront pas là.

L’ULC constate que ce sont surtout les individus à faibles et moyens revenus, les retraités et les familles monoparentales qui seront touchés par ces hausses de prix. Une récente étude a révélé que plus d’un quart de la population a des difficultés à joindre les deux bouts avec ses revenus mensuels.

Même si le salaire minimal légal était augmenté de cent euros, cela serait très loin d’être suffisant pour mener une vie décente au Luxembourg et prendre part à la vie sociale et culturelle du pays : selon une autre étude, il faudrait pour ce faire un revenu mensuel minimal d’environ 4 000 euros.

En dépit de tous les beaux discours, l’ULC est forcée de constater que les mesures de libéralisation et la concurrence tant vantée n’ont pratiquement mené à aucune baisse de prix jusqu’à présent. Les prix ont en fait plutôt plongé dans une spirale ascendante, comme en témoignent les exemples récents des courses de taxis et de la SNCT.

L’évolution des prix des produits pétroliers constitue un autre facteur d’insécurité, des augmentations s’annonçant là aussi dans les prochains mois.

L’ULC déplore cette évolution négative du pouvoir d’achat des ménages, qui se trouve en décalage par rapport à l’évolution positive de l’économie. Le budget présenté ce matin ne change hélas rien à ces constatations.

L’ULC requiert donc des allègements fiscaux supplémentaires et une adaptation du barème d’imposition à l’inflation pour les ménages ainsi que la réintroduction de la tranche indiciaire d’avance, supprimée en 1981. Ces mesures seraient surtout utiles aux faibles et moyens revenus.

L’ULC rappelle à cet égard sa campagne contre les tarifs exorbitants et antisociaux des banques. Sa pétition n° 1182 peut être signée sur le portail internet de la Chambre des Députés (www.chd.lu) ou au siège de l’ULC à Howald, 55, rue des Bruyères.

L’ULC tiendra par ailleurs un stand permettant de signer la pétition au format papier en plusieurs endroits de la capitale dans le courant du mois de mars. Elle sera ainsi présente sur le marché du Knuedler les samedis 9 et 23 mars 2019, à la Grand-Rue de Luxembourg-Ville le mercredi 13 mars et au « Glacismaart » de Limpertsberg le dimanche 17 mars.

Communiqué par l’ULC le 6 mars 2019


Keine Steuererleichterungen für die Verbraucher!

Anlässlich der heutigen Präsentation des Staatshaushaltes in der Abgeordnetenkammer sind nur geringe Erleichterungen der Mehrwertsteuer vorgesehen. Im Endeffekt werden die Verbraucher weiterhin zur Kasse gebeten. Vor allem sind es die Autofahrer, die mit einer zusätzlichen Erhöhung der Akzisen auf Benzin und Diesel gebeutelt werden. Die sind in der Zwischenzeit zur Milchkuh der Nation geworden.

Die ULC ist über die derzeitige Preisentwicklung besorgt, denn während der ersten zwei Monate dieses Jahres hat sich die Preisentwicklung in den verschiedenen Bereichen spürbar nach oben bewegt.

Einige rezente Beispiele bestätigen diesen Trend, wie z.B. die Strom- und Gaspreise, die Bankgebühren, die Briefmarken, die durchschnittliche 40 prozentige Preiserhöhung bei der SNCT, die Taxispreise und jetzt die Akzisen. Und mit an Sicherheit grenzende Wahrscheinlichkeit wird es kaum bei diesen Preissteigerungen bleiben.

Die ULC gibt zu bedenken, dass vor allem die Klein-und Mittelverdiener, die Rentner und die alleinstehenden Familien am meisten von den Preissteigerungen betroffen sind. Wie eine rezente Studie beweist, haben über ein Viertel der Menschen Schwierigkeiten mit ihrem monatlichen Einkommen über die Runden zu kommen.

Auch wenn es jetzt zu einer Erhöhung des gesetzlichen Mindestlohnes von 100.- euros kommen wird, genügt dies bei weitem nicht um in Luxemburg ein dezentes Leben führen sowie am sozialen und kulturellen Leben teilnehmen zu können. Eine weitere Studie hat ergeben, dass hierfür ein monatliches Mindesteinkommen von zirka 4.000.- notwendig wäre.

Trotz allen anderen Beteuerungen, stellt die ULC immer wieder fest, dass durch die Liberalisierungsmaßnahmen und der sogenannten gepriesenen Konkurrenz es bisher kaum zu Preissenkungen kam. Eher war die Preisspirale in die entgegengesetzte Richtung gerichtet. Rezente Beispiele sind die Taxisfahrten und die SNCT für die Kontrolle der Fahrzeuge.

So ist ebenfalls die Preisentwicklung bei den Erdölprodukten ein weiterer Unsicherheitsfaktor, wo es in den nächsten Monaten zu Verteuerungen kommen könnte.

Die ULC bedauert, dass diese negative Entwicklung der Kaufkraft für die Haushalte nicht einher mit der positiven wirtschaftlichen Entwicklung geht. An diesen Feststellungen ändert auch das an diesem Vormittag vorgestellte Staatsbudget leider nichts.

Darum fordert die ULC zusätzliche Steuererleichterungen beziehungsweise eine Anpassung der Steuertabelle an die Inflation für die Haushalte sowie die Wiedereinführung, der 1981 abgeschafften Vorschussindextranche. Diese Maßnahmen würden vor allem den kleinen und mittleren Einkommen entgegenkommen.

In diesem Zusammenhang erinnert die ULC an ihre Petitionskampagne gegen die horrenden und unsozialen Bankgebühren. Diese Petition No 1182 kann man über das Internetportal der Abgeordnetenkammer www. chd.lu oder im ULC Sitz auf Howald 55, rue des Bruyères unterzeichnen.

Zudem wird die ULC während diesem Monat März an mehreren Stellen der Stadt Luxemburg einen Stand errichten, wo jeder diese Petition ebenfalls in Papierform unterzeichnen kann.

Die ULC ist präsent auf dem hauptstädtischen Markt auf dem „Knuedler“, jeweils Samstag, den 9. Und 23. März 2019

Ebenfalls wird die ULC am Mittwoch, den 13. März in der „Grand’rue“ der Hauptstadt sowie auf dem „Glacismaart“, Sonntag, den 17. März auf Limpertsberg präsent sein.

Mitgeteilt von der ULC am 05. März 2019

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