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Union Luxembourgeoise des Consommateurs

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Sehr geehrte Dame, sehr geehrter Herr,

Anbei schicken wir Ihnen unsere Pressemitteilung.
Mit freundlichen Grüssen.

 

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L’ULC demande au Gouvernement d’introduire le taux de TVA super réduit de 3% sur les biens de consommation durables

Pour la première fois l’Europe impose des exigences techniques concernant la réparation de biens durables. Les lave-vaisselle, lave-linge, appareils de réfrigération, téléviseurs, écrans d’ordinateur,… mis en vente à partir du 1 mars, quel que soit leur provenance, devront garantir la disponibilité pendant 7 voire 10 ans de pièces détachées identifiées dans de nouveaux Règlements d’écoconception européens. Non seulement les utilisateurs mais aussi les réparateurs professionnels indépendants (possédant la compétence technique nécessaire et disposant d’une assurance de responsabilité) pourront se procurer ces pièces qui devront être livrées dans un délai de 15 jours ouvrables. La liste de ces pièces devra être accessible au public en accès libre sur le site internet des fabricants/ importateurs. Les grosses pièces sont réservées aux réparateurs professionnels qui devront avoir accès à toutes les informations techniques nécessaires. Quant aux petites pièces, les consommateurs pourront les commander eux-mêmes. Les fabricants doivent s’assurer que ces pièces puissent être remplacées à l’aide d’outils couramment disponibles. Ces obligations visent à promouvoir l’écoconception des appareils dès leur fabrication ainsi que la longévité des biens durables. Hélas, ces Règlements ne prévoient pas des normes de durabilité minimum comme c’est le cas, par exemple, pour le moteur des aspirateurs.

Ces Règlements européens qui sont directement applicables partout dans l’Union Européenne concrétisent partiellement l’un des objectifs de la Stratégie pour une économie circulaire Luxembourg, présentée récemment, à savoir « développer un cadre pour le ‘droit de réparation’, y compris l’accès aux pièces de rechange (originales ou imprimées en 3D) ».

L’ULC se félicite de ces mesures tangibles mais les prix des pièces détachées souvent élevés, laissés à la libre concurrence, auxquels s’ajoutent d’éventuels frais des réparateurs découragent souvent les consommateurs d’opter pour la réparation au lieu de l’achat d’un nouvel appareil. Comme première incitation financière, l’ULC demande au Gouvernement d’introduire sans tarder le taux de TVA super-réduit de 3% pour les travaux de réparation figurant parmi les missions de l’accord de coalition gouvernemental.       

Communiquée par l'ULC le 26 février 2021


Die ULC fordert den reduzierten Mehrwertsteuersatz von 3% für Reparaturarbeiten von Verbrauchsgütern unverzüglich einzuführen.

Zum ersten Mal werden in Europa technische Anforderungen für die Reparatur von langlebigen Gütern verlangt. Unter anderem sind dies Geschirrspüler, Waschmaschinen, Kühlschränke, Fernseher, Computermonitore usw., die ab dem 1. März in den Handel kommen. Diese müssen in Zukunft unabhängig von ihrer Herkunft die Verfügbarkeit der in den neuen europäischen Ökodesign-Verordnungen genannten Ersatzteile für 7 oder sogar 10 Jahre garantieren. Nicht nur Anwender, sondern auch unabhängige professionelle Reparaturhandwerker (mit dem nötigen technischen Know-how und einer Haftpflichtversicherung) können diese Teile beziehen, die innerhalb von 15 Arbeitstagen zu liefern sind.

Die Liste dieser Teile muss auf den Webseiten der Hersteller beziehungswiese Importeure öffentlich und frei zugänglich sein. Große Teile sind für professionelle Reparaturhandwerker reserviert, die Zugang zu allen notwendigen technischen Informationen haben müssen. Was die Kleinteile betrifft, so können die Verbraucher diese selbst bestellen. Die Hersteller müssen sicherstellen, dass diese Teile mit handelsüblichem Werkzeug ausgetauscht werden können. Diese Verpflichtungen zielen daraufhin, das Ökodesign von Geräten ab dem Zeitpunkt der Herstellung und die Langlebigkeit von Gütern zu fördern. Leider sehen diese Vorschriften keine Mindesthaltbarkeitsnormen vor, wie es z.B. bei Staubsauger der Fall ist.   

Diese europäischen Verordnungen, die in der gesamten Europäischen Union direkt anwendbar sind, setzen eines der Ziele für eine Kreislaufwirtschaft Luxemburgs teilweise um, nämlich die Entwicklung eines Rahmens für das Recht auf Reparatur, einschließlich des Zugangs zu Ersatzteilen (original oder 3D-gedruckt)".

Die ULC begrüßt diese Maßnahmen, weist aber auf die häufigen hohen Preise für Ersatzteile hin. Diese werden nach wie vor dem freien Wettbewerb, mit den oft hohen Reparaturgebühren überlassen und halten somit die Verbraucher davon ab, sich anstatt für die Reparatur zu entscheiden, eben den Kauf eines neuen Gerätes zu bevorzugrn.

Darum fordert die ULC als finanziellen Anreiz die Regierung auf, den im Koalitionsvertrag vereinbarten superreduzierten Mehrwertsteuersatz von 3% für Reparaturarbeiten von Verbrauchsgütern unverzüglich einzuführen.

Mitgeteilt von der ULC am 26. Februar 2021  
 

L’ULC demande au Gouvernement d’introduire le taux de TVA super réduit de 3% sur les biens de consommation durables (168 KB)
Die ULC fordert den reduzierten Mehrwertsteuersatz von 3% für Reparaturarbeiten von Verbrauchsgütern unverzüglich einzuführen. (42 KB)