Madame A a acheté dans un magasin de jouets une tablette pour enfant. Elle avait bénéficié d’une remise alors que l’emballage était complètement abîmé. Suite à l’activation de la tablette, Madame A s’est aperçue qu’il s’agissait en fait d’une tablette d’occasion (inscription d’un compte, photos de différentes personnes), ce dont le vendeur ne l’avait pas informée. Elle est donc retournée au magasin afin d’en recevoir une neuve.
Or, le magasin a refusé l’échange, au motif que Madame A avait eu une remise.
L’ULC a alors adressé un courrier au magasin : en effet, Madame A n’a pas acheté un bien d’occasion, mais un bien neuf – la remise offerte concernait l’état de l’emballage, sans que ladite remise ait une influence sur le fait que le bien payé par Madame A devait être neuf.
Après quelques semaines, le magasin a fait droit à la demande de l’ULC et a procédé à l’échange, de sorte que Madame A a pu aller chercher une nouvelle tablette.