En janvier 2023, notre membre passe commande pour l’installation de plusieurs moustiquaires. Le devis conclu avec l’entreprise contient un délai indicatif de 8 à 10 semaines Les conditions de celui-ci stipulent le paiement d’un acompte de 50% à la signature, un second de 45 % à régler au plus tard le jour où débutent les travaux et le solde dû à la réception de la facture finale. Notre membre s’acquitte de la moitié du montant total, l’installation est quant à elle planifiée pour le mois de mai.
Des erreurs de mesurage vont hélas contraindre le professionnel à venir reprendre les mesures et prévoir une nouvelle date d’installation. À ce propos, notre membre le contacte plusieurs fois, en vain... Plus d’un an après, notre membre nous partage ses doléances. Il nous explique ne pas avoir réglé le second acompte et le solde lui réclamés en mai 2023 étant donné l’erreur de mesurage et donc la crainte de risquer que l’entreprise ne revienne plus dès paiement intégral. Nous lui faisons savoir que les conditions contractuelles n’ont pas été respectées mais que nous comprenons également que la société n’a de son côté pas explicitement indiqué qu’elle restait en attente de paiements avant de procéder à l’installation. Nous joignons l’entreprise pour dénouer le problème. Par téléphone d’abord. Subséquemment, déplorant que le dossier restait au point mort malgré des promesses, nous la contactons par écrit afin d’exiger d’agir une bonne fois pour toutes. Nouvelle prise de mesures donc puis contre toute attente l’intervention tant espérée et le règlement immédiat par notre membre des factures en souffrance. Plus d’une année et demi-presque deux- se seront écoulées entre la signature du devis et l’issue heureuse. Evidemment, devant l’inaction de la société, il eut été loisible au client d’insister sur une résiliation formelle du contrat mais l’offre acceptée était particulièrement alléchante et notre membre ne voulait pas passer à côté.