Dans le but de satisfaire le locataire de son studio qui lui réclamait une nouvelle paroi de douche, notre membre procéda à une pré-réservation en décembre pour convenir d’une prise de mesures puis à la commande début février. Un délai est fixé à la semaine 11 soit la 3ème semaine de mars. Le sous-traitant de la partie venderesse prévoit une livraison le 10 mars mais le client demande s’il est possible de convenir ensemble d’un rendez-vous pendant cette même semaine.
C’est dès ce moment que les choses vont se compliquer. Le 10 mars, un livreur appelle notre membre pour l’informer qu’il est devant l’entrée avec le matériel. Notre membre ne s’attendait pas au passage préalable du seul livreur et encore moins que celui-ci passe sans que la date du 10 mars n’ait été confirmée avant. La marchandise repart donc au magasin puisque notre membre ne réside pas sur place et ne peut par conséquent pas la réceptionner.
Vont s’en suivre de nombreux échanges de courriels et des messages dans une langue que le client ne maitrise pas mais auxquels il tente de répondre tant bien que mal. On lui propose de venir à une période à laquelle il a pourtant renseigné être absent…
Ce qui ne devait être qu’une simple et banale affaire de livraison/montage commençait à tourner au ridicule et faire perdre patience au locataire ainsi qu’à notre membre. Le sentiment de ce dernier est que lorsqu’il essaye de faire un pas en avant, deux pas sont faits en arrière par le sous-traitant. Cette situation qui n’est pas sans rappeler une célèbre procession dansante luxembourgeoise se décantera néanmoins de façon significative après notre intercession. À pointer principalement dans cette affaire, le gros problème de communication et de coordination entre les nombreuses parties concernées (client, magasin vendeur, sous-traitant, usine et livreur).