La fille de notre membre pensait faire plaisir à sa mère en lui offrant un bon cadeau pour soins de manucure auprès d’un institut de beauté commandé par le biais d’une plateforme spécialisée. À l’institut où notre membre se rend pour en profiter, les esthéticiennes présentes refusent le bon et expliquent que la société émettrice dudit document n’exerce plus mais que l’enseigne ainsi que les locaux ont été gardés pour leur permettre de travailler en tant qu’esthéticiennes indépendantes dans un espace de coworking.
Notre membre déplore le fait que l’ancienne responsable des lieux ait vendu un bon peu avant de partir pour l’étranger. L’autre raison de son incompréhension est d’ordre plutôt affectif. Il s’agissait d’un cadeau d’une fille à sa maman, un montant qui en soi n’est pas astronomique mais qui est celui payé avec le cœur et ses propres moyens. L’ULC réussit à joindre l’ancienne gérante, qui expliqua qu’elle n’a pas eu le temps de changer ses statuts et se désinscrire du registre des sociétés avant de partir. Celle-ci, consentit finalement, une fois les vérifications d’usage réalisées, à rembourser la somme directement et intégralement, un remboursement rubis sur l’ongle pour un soin de manucure jamais presté.