Notre membre avait valablement résilié son abonnement internet en date du 23 octobre 2024, dans l’intention de changer d’opérateur. Il avait même demandé à être informé de la date exacte de cessation des services. Dès le lendemain pourtant, la connexion fut interrompue — sans préavis — et, paradoxalement, la facturation a continué comme si de rien n’était.
Les factures de novembre et décembre 2024 ont donc été émises à tort. Pire encore, une mise en demeure lui a été adressée pour ces montants, alors même que la résiliation était effective depuis octobre.
Et ce n’est qu’au 10 janvier 2025 que la ligne fut officiellement clôturée.
Face à cette situation injuste, l’ULC est intervenue auprès de l’opérateur en janvier 2025, rappelant :
- la date de résiliation,
- la demande du client de rester informé de l’interruption du service,
- l’interruption brutale du service,
- et l’incohérence de la facturation postérieure.
Résultat : une note de crédit a été émise couvrant novembre, décembre 2024 et janvier 2025.
Le cordon est donc coupé pour de bon avec cette entreprise. Quant aux cordons de la bourse, ils seront désormais déliés au profit du nouvel opérateur.